Ministère de l’ Environnement
des Energies Renouvelables
Ministère des Ressources en Eau
et de l’Environnement

Les partenaires du Mastère

Les partenaires académiques

L’École des Mines de Saint-Étienne

Fondée en 1816, membre de l’Institut Mines-Télécom (premier groupe d’école d’ingénieurs de France), l’École des Mines de Saint-Étienne est l’un des fleurons des grandes écoles d’ingénieur françaises. Directement rattachée au ministère de l’économie, de l’industrie et du numérique, elle a pour vocation de former les ingénieurs de demain pour répondre aux problématiques industrielles actuelles. L’expertise de l’École est reconnue à l’international, que ce soit en matière d’innovation dans la formation ou d’implication dans les domaines industriels et entrepreneurials. Elle est depuis toujours à la pointe de la recherche et reste, aujourd’hui autant qu’hier, un acteur phare dans ses nombreux domaines de spécialisation.

L’Université Senghor d’Alexandrie (Égypte)

L’Université Senghor d’Alexandrie (en Egypte), Opérateur de la Francophonie, offre, depuis maintenant plus de 20 ans, des formations pluridisciplinaires et pluri-thématiques consacrées au développement durable dans un contexte de mondialisation. Elle a pour vocation de former et de perfectionner des cadres de haut niveau des secteurs public et privé et d’orienter leurs aptitudes vers l’exercice des responsabilités dans certains domaines prioritaires pour le développement. Au sein de son département Environnement les grandes thématiques et problématiques environnementales (écologie, agroforesterie, changement climatique, eau, parcs naturels, forêts, déchets, …) sont étudiées dans leurs aspects propres aux pays africains. Ainsi, les meilleures pratiques, technologies, connaissances et savoirs sont mis en avant et enseignés, afin de favoriser un développement respectueux de l’environnement qui, d’une part, évite de reproduire des modes de consommation et de production qui ne seraient pas les « meilleurs modes disponibles » et, d’autre part, intègre les réalités africaines dans leurs aspects écologiques, sociaux, économiques et politiques (en abordant par exemple la question de la décentralisation). Cette approche vise un développement durable, mais également et surtout le développement au niveau du continent africain de capacités endogènes en matière d’environnement.

L’École Nationale Polytechnique d’Oran

Fondée il y’a plus de 45 ans, l’ENSET a cédé la place à L’École nationale polytechnique d’Oran (ENP d’Oran). L’ENP d’Oran a pour mission d’assurer la formation supérieure, la recherche scientifique et le développement technologique à travers la formation d’ingénieurs et Masters dans les différentes spécialités des sciences et techniques.

L’ENP d’Oran avec toutes ses composantes, pédagogiques, scientifiques et administratives, est pleinement engagée à assurer ses missions avec l’appui de ses partenaires historiques, les universités algériennes et étrangères, mais aussi avec des partenaires nouveaux les grandes écoles dans notre pays et d’ailleurs et des partenaires indispensables que sont les entreprises. L’ENP d’Oran a développé des relations privilégiées avec les universités algériennes à travers de nombreuses actions de formation et de recherche. Les neuf laboratoires de recherche que compte l’ENP d’Oran y contribuent largement. L’ENP d’Oran se veut au service de son environnement socio-économique par la formation de cadres dignes de relever les défis de créativité et d’innovation des entreprises génératrices de richesse pour le développement du pays.

Les partenaires professionnels

Le R20 (Regions of Climate Action)

Le R20 est une organisation non gouvernementale fondée en 2010 par Arnold Schwarzenegger, avec le Soutien des Nations unies. Sa mission est d’aider les gouvernements sub-nationaux à dessiner, financer et mettre en œuvre des projets de développement durable, ainsi que de communiquer les meilleures pratiques et politiques dans le domaine des énergies renouvelables, afin de créer une économie verte. Plus précisément, le R20 travaille sur demande des régions afin de réunir trois acteurs : les gouvernements sub-nationaux, les détenteurs de technologies et les investisseurs. Son but est de faire le lien entre eux, de manière à faciliter la mise en place de projets dits « verts », visant la réduction de gaz à effet de serre, l’amélioration de la santé publique, la création de nouveaux emplois, ainsi que la réduction de la pauvreté par l’accès aux services publics pour tous. Pour ce faire, l’organisation travaille avec des gouvernements sub-nationaux, des institutions académiques, des corporations, des institutions financières, des organisations intergouvernementales, des organisations non-gouvernementales ou des programmes des Nations Unies. La structure du R20 pour la mise en œuvre de ses projets est une approche en trois phases: d’abord déterminer les besoins des régions (appelée Regions in Action), ensuite trouver la technologie appropriée (Technologies in Action), et, enfin, identifier un investisseur adéquat (Finance in Action). A ce jour près de 11 gouvernements sub-nationaux africains sont membres du R20.